25
Octobre 1998. Le calme et l’ennui qui régnaient jusqu’alors
sont subitement perturbés par des engins de destruction. Après
des mois d’attente, j’espérais une attaque significative. C’est
donc avec déception que je me suis rendu compte que la frontière
servait d’aire de stationnement et d’entrepôt, ce qui fait preuve
d’un irrespect navrant de la part des responsables militaires. On
ne stationne pas sur une frontière.
 |